Paroles de chanson
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Paroles de chanson
Vous pouvez publiez les paroles des chansons que vous aimer. Je commence avec "pomme C" de Calogéro:
Pour 2couter et voir le clip de cette chanson, cliquez sur le lien suivant: http://fr.youtube.com/watch?v=tmVvBTzkw7A
Je précise que l'ordinateur au début du clip est un iMac, d'où le titre "Pomme C" car la pomme est le signe que l'on trouve sur les iMac et même les iPod! (si vous voulez faire le signe de la pomme, ce n'est faisable qu'avec les iMac et il faut faire: alt+1 (la touche 1 ce n'est pas celle du pavé numérique, c'est celle au-dessus des lettres).
Pomme C
J'ai son image
J'ai son email
Son coeur au bout du clavier
J'ai son visage
Et l'envie d'elle
Sans jamais l'avoir touchée
Dois je sauver ?
Ou bien abandonner ?
Pomme, c'est un homme et une femme
Et c'est tout un programme
Un ciel artificiel
Pomme, qui m'allume et qui me quitte
On s'aime trop vite
Nos vies c'est le virtuel
Elle m'écrit
Mais mon écran
formate les sentiments
Mais j'imagine qu'une machine
Ne peut que faire semblant
Ma déesse Elle
N'est pas vraiment réelle
Pomme, c'est un homme et une femme
Et c'est tout un programme
Un ciel artificiel
Pomme, qui m'allume et qui me quitte
On s'aime trop vite
C'est le vi-c'est le virtuel.
Un peu d'amour, copié-collé
Un peu d'amour, pomme c
Un peu d'amour téléchargé
Un peu d'amour à sauver
Mais l'amour n'est pas virtuel.
Pomme, c'est un homme et une femme
Et c'est tout un programme
Un ciel artificiel
Pomme, qui m'allume et qui me quitte
On s'aime trop vite
C'est le vi-c'est le virtuel.
Dois je sauver
ou bien dois je abandonner ?
J'ai son image
J'ai son email
Son coeur au bout du clavier
J'ai son visage
Et l'envie d'elle
Sans jamais l'avoir touchée
Dois je sauver ?
Ou bien abandonner ?
Pomme, c'est un homme et une femme
Et c'est tout un programme
Un ciel artificiel
Pomme, qui m'allume et qui me quitte
On s'aime trop vite
Nos vies c'est le virtuel
Elle m'écrit
Mais mon écran
formate les sentiments
Mais j'imagine qu'une machine
Ne peut que faire semblant
Ma déesse Elle
N'est pas vraiment réelle
Pomme, c'est un homme et une femme
Et c'est tout un programme
Un ciel artificiel
Pomme, qui m'allume et qui me quitte
On s'aime trop vite
C'est le vi-c'est le virtuel.
Un peu d'amour, copié-collé
Un peu d'amour, pomme c
Un peu d'amour téléchargé
Un peu d'amour à sauver
Mais l'amour n'est pas virtuel.
Pomme, c'est un homme et une femme
Et c'est tout un programme
Un ciel artificiel
Pomme, qui m'allume et qui me quitte
On s'aime trop vite
C'est le vi-c'est le virtuel.
Dois je sauver
ou bien dois je abandonner ?
Pour 2couter et voir le clip de cette chanson, cliquez sur le lien suivant: http://fr.youtube.com/watch?v=tmVvBTzkw7A
Je précise que l'ordinateur au début du clip est un iMac, d'où le titre "Pomme C" car la pomme est le signe que l'on trouve sur les iMac et même les iPod! (si vous voulez faire le signe de la pomme, ce n'est faisable qu'avec les iMac et il faut faire: alt+1 (la touche 1 ce n'est pas celle du pavé numérique, c'est celle au-dessus des lettres).
Re: Paroles de chanson
Drole d'animal
Calogero
Qui ne sait pas voler,
Mais chasse les oiseaux.
Qui sous l'eau ne sait pas respirer.
Mais qui suis je donc ?
Pour me croire le plus fort.
Pour me croire tout permis.
Me donner le droit de vie et de mort,
Devine que dire encore.
Je suis le moins humain des animaux,
je suis le pire.
Je pense à rien qu'à sauver ma peau. (pour ainsi dire)
Le plus sauvage des fauves en cage.
Je suis de loin le moins beau.
Qui invente la bombe ?
Qui se moque du monde ?
Qui tue pour le plaisir de tuer
Mais qui suis-je donc ?
Pour me croire au dessus
De tout ce que je tue.
Qui ne respecte rien ni personne,
Qui donc si ce n'est l'homme ?!
Je suis le moins humain des animaux.
Je suis le pire.
Je pense à rien qu'à sauver ma peau (pour ainsi dire).
Le plus sauvage des fauves en cage.
Je suis de loin le moins beau.
Je suis le dernier maillon de la chaîne.
Un homme qui n'a plus figure humaine.
Le plus sauvage des fauves en cage.
Je suis de loin le moins beau.
Oui je suis bien
Le plus sauvage des fauves en cage.
Je suis de loin le moins beau.
A quoi me sert mon cerveau ?!
autant rester dans la meme catégorie.
Et je prends de l'avance:
Game Over
Calogero
Je suis une automobile
Lancée à 200 à l'heure
J'ai pas peur, pas le droit à l'erreur.
Je vis des bas dans la vie
Des peines et des pannes de coeur
Le bonheur est parti, Game Over !
Game over ! Game over ! Game Over !
Je suis un fou du volant,
Je frole la mort à chaque tournant
A ce jeu là, je suis le meilleur.
Je vis des bas dans la vie,
Je ne suis qu'une tombe raider
Rien qu'un james bond d'ordinateur
Game over ! Game over ! Game over !
Je vis des bas pour de vrai,
Sur ma console je m'envole.
Et pour de faux, je vis des hauts.
Je vis des hauts !
Game over ! Game over ! Game over !
Et pour finir en beauté:
Le saut de l'ange
Calogero
Si je ne réponds pas quand tu me fais signe,
Laisse-moi un message,
Que je devine ce que tu es,
Ce que serait l’amour entre nous,
L’amour après tout.
Et si sur cette voie, je ne te suis pas,
Je sais le message
À tout jamais.
Un jour ou l’autre il faut qu’on saute,
Tenter le voyage,
Trouver le courage
Je sais qu'il manque parfois l'étincelle,
Je sais qu'il ne nous manque pas l'essentiel,
Je sais que c'est toujours l'amour qui donne des ailes.
Le saut de l'ange...
Je sais qu'on a le coeur au bord du vide,
Mais je sais que c'est l'ange qui nous guide,
Entre les orages, entre les naufrages...
Si je ne suis pas l’homme que tu attendais,
Laisse-moi un message
Sait-on jamais
Quoi que je fasse, quoique j’ai fait
Dans tout le silence, reste l’évidence
Je sais qu'il manque parfois l'étincelle,
Je sais qu'il ne nous manque pas l'essentiel,
Je sais que c'est toujours l'amour qui donne des ailes.
Le saut de l'ange...
Je sais qu'on a le coeur au bord du vide,
Mais je sais que c'est l'ange qui nous guide,
Entre les orages, entre les naufrages...
Je n'ai donné que des titres de son derniers albums
car il y en a bien d'autre que j'aimerais partager^^
Calogero
Qui ne sait pas voler,
Mais chasse les oiseaux.
Qui sous l'eau ne sait pas respirer.
Mais qui suis je donc ?
Pour me croire le plus fort.
Pour me croire tout permis.
Me donner le droit de vie et de mort,
Devine que dire encore.
Je suis le moins humain des animaux,
je suis le pire.
Je pense à rien qu'à sauver ma peau. (pour ainsi dire)
Le plus sauvage des fauves en cage.
Je suis de loin le moins beau.
Qui invente la bombe ?
Qui se moque du monde ?
Qui tue pour le plaisir de tuer
Mais qui suis-je donc ?
Pour me croire au dessus
De tout ce que je tue.
Qui ne respecte rien ni personne,
Qui donc si ce n'est l'homme ?!
Je suis le moins humain des animaux.
Je suis le pire.
Je pense à rien qu'à sauver ma peau (pour ainsi dire).
Le plus sauvage des fauves en cage.
Je suis de loin le moins beau.
Je suis le dernier maillon de la chaîne.
Un homme qui n'a plus figure humaine.
Le plus sauvage des fauves en cage.
Je suis de loin le moins beau.
Oui je suis bien
Le plus sauvage des fauves en cage.
Je suis de loin le moins beau.
A quoi me sert mon cerveau ?!
autant rester dans la meme catégorie.
Et je prends de l'avance:
Game Over
Calogero
Je suis une automobile
Lancée à 200 à l'heure
J'ai pas peur, pas le droit à l'erreur.
Je vis des bas dans la vie
Des peines et des pannes de coeur
Le bonheur est parti, Game Over !
Game over ! Game over ! Game Over !
Je suis un fou du volant,
Je frole la mort à chaque tournant
A ce jeu là, je suis le meilleur.
Je vis des bas dans la vie,
Je ne suis qu'une tombe raider
Rien qu'un james bond d'ordinateur
Game over ! Game over ! Game over !
Je vis des bas pour de vrai,
Sur ma console je m'envole.
Et pour de faux, je vis des hauts.
Je vis des hauts !
Game over ! Game over ! Game over !
Et pour finir en beauté:
Le saut de l'ange
Calogero
Si je ne réponds pas quand tu me fais signe,
Laisse-moi un message,
Que je devine ce que tu es,
Ce que serait l’amour entre nous,
L’amour après tout.
Et si sur cette voie, je ne te suis pas,
Je sais le message
À tout jamais.
Un jour ou l’autre il faut qu’on saute,
Tenter le voyage,
Trouver le courage
Je sais qu'il manque parfois l'étincelle,
Je sais qu'il ne nous manque pas l'essentiel,
Je sais que c'est toujours l'amour qui donne des ailes.
Le saut de l'ange...
Je sais qu'on a le coeur au bord du vide,
Mais je sais que c'est l'ange qui nous guide,
Entre les orages, entre les naufrages...
Si je ne suis pas l’homme que tu attendais,
Laisse-moi un message
Sait-on jamais
Quoi que je fasse, quoique j’ai fait
Dans tout le silence, reste l’évidence
Je sais qu'il manque parfois l'étincelle,
Je sais qu'il ne nous manque pas l'essentiel,
Je sais que c'est toujours l'amour qui donne des ailes.
Le saut de l'ange...
Je sais qu'on a le coeur au bord du vide,
Mais je sais que c'est l'ange qui nous guide,
Entre les orages, entre les naufrages...
Je n'ai donné que des titres de son derniers albums
car il y en a bien d'autre que j'aimerais partager^^
Balthazard- PoèteMembre
- Nombre de messages : 61
Age : 34
Date d'inscription : 04/10/2007
Re: Paroles de chanson
Je ne connaissais même pas drôle d'animal et Game over mais bon maintenant je les connais!^^
Voilà des liens pour voir les clips des chansons:
Drôle d'animal ==> http://fr.youtube.com/watch?v=_rCEMeYmxDo (pas sur que se soit le bon clip)
Game over ==> PAS TROUVER!
Le saut de l'ange ==> http://fr.youtube.com/watch?v=a7LmYsXa6tE
Sinon il y a :
En apesanteur
J'arrive à me glisser juste avant que les portes ne se refferment
Elle me dit «Quel étage?» et sa voix me fait quitter la terre ferme
Alors, les chiffres dansent, tout ce mélange, je suis en tête à tête avec un ange!
En apesanteur, pourvut que les secondes soient des heures!
En apesenteur, pourvut qu'on soit les seuls, dans cet ascenseurs!
En apesanteur, pourvut que les secondes soient des heures!
En apesenteur, pourvut qu'on soit les seuls, dans cet ascenseurs!
Elle arrange ses cheuveux, j'ai le coeur juste au bord des yeux
Et sans la regarder je sens la chaleur d'un autre langage alors
Les yeux rivés sur les étages, pourvut que rien n'arrêtent le voyage!
En apesanteur, pourvut que les secondes soient des heures!
En apesenteur, pourvut qu'on soit les seuls, dans cet ascenseurs!
En apesanteur, pourvut que les secondes soient des heures!
En apesenteur, pourvut qu'on soit les seuls, dans cet ascenseur, dans cet ascenseur…
J'arrive à me glisser juste avant que les portes ne se referment…
En apesanteur, pourvut que les secondes soient des heures!
En apesenteur, pourvut qu'on soit les seuls, dans cet ascenseurs, en apesanteur
Pourvut que les secondes soient des heures, en apeusanteur…
Pourvut qu'on soit les seuls, dans cet ascenseurs…
Le lein: http://fr.youtube.com/watch?v=YO1LqqP9w3I
Et aussi Face à la mer, Calogéro et Passy
Face à la mer
On ne choisit ni son origine, ni sa couleur de peau
Comme on rêve d'une vie de château, quand on vit le ghetto
Naître l'étau autour du cou comme Cosette pour Hugo
Être en treillis dans le conflit et prier le Très Haut.
Fils du C.O.N.G.O. cette haine j'ai au
M.I.C.R.O. j'ai l' poids des mots
Sortir d'en bas, rêver de déchirer ce tableau
Fait d'armes, de larmes,
Fait de sang et sanglots.
[Calogero]:
Face à la mer
J'aurais dû grandir
Face contre terre
J'aurais pu mourir
Je me relève
Je prends mon dernier rêve
[Passi]:
Tous deux la même dalle
Et tous deux déçus
[Calogero]:
Je prends mon dernier rêve
[Passi]:
La sécheresse sur une terre où on ne cesse de semer
Tristesse dans des yeux qui ne peuvent pleurer
J'ai beaucoup de rêves lointains, je me suis tant rebellé,
J'ai bu beaucoup de baratin et ça m'a trop saoulé.
Dans la vie y a les tapes au fond et les tapes à côté,
Les "t'as pas un euro ?" ou la tape à l'arrachée,
Y a l'Etat, les R.M.istes, les " t'as qu'à taffer"
Si t'es en bas faut cravacher, t'as qu'à pas lâcher.
T'as pas connu ça toi, l'envie d'empocher les patates,
Être à gauche droite face à la mer loin des galères.
T'as pas connu ça, l'envie de t'en sortir distribuer des patates
Des gauches droites avec un air patibulaire
[Calogero]:
Face à la mer
J'aurais dû grandir
Face contre terre
J'aurais pu mourir
Je me relève
Je prends mon dernier rêve
[Passi]:
Tous deux la même dalle
Et tous deux déçus
[Calogero]:
Je prends mon dernier rêve
Face à la mer
C'est toi qui résistes
Face contre terre
Ton nom sur la liste
de tout ton être
Cité à comparaître
[Passi]:
C'est l'histoire de cette plume qui s'étouffe dans le goudron,
d'cette matière grise dont le pays n'a pas fait acquisition,
on se relève, on repart à fond, on vise le Panthéon,
j'en place une à ceux qui en ont, qui rêvent consécration,
la dalle la niak, je l'ai comme mes potes l'ont
on veut toucher le ciel étoilé sans baisser le pantalon.
Trop peu bonnes fées et trop de cendrillons.
Calo-Passi 2.0.0.4. action
[Calogero]:
Face à la mer
J'aurais dû grandir
Face contre terre
J'aurais pu mourir
Je me relève
Je prends mon dernier rêve
[Passi]:
Tous deux la même dalle
on est tous deux déçus
[Calogero]:
Je prends mon dernier rêve
[Passi]:
Tous deux la même dalle
on vise tous deux au-dessus
[Calogero]:
Je prends mon dernier rêve
[Passi]:
On ne choisit ni son origine, ni sa couleur de peau
comme on rêve d'une vie de château, quand on vit le ghetto
naître l'étau autour du cou comme Cosette pour Hugo
être en treillis dans le conflit et prier le Très Haut.
Fils du C.O.N.G.O. cette haine j'ai au
M.I.C.R.O. j'ai l'poids des mots
Face à la mer
On veut tous grandir
Calo-Passi
Trop jeunes pour mourir
et biensur un lien pour le clip: http://fr.youtube.com/watch?v=rnFMG8TR_k0
Voilà des liens pour voir les clips des chansons:
Drôle d'animal ==> http://fr.youtube.com/watch?v=_rCEMeYmxDo (pas sur que se soit le bon clip)
Game over ==> PAS TROUVER!
Le saut de l'ange ==> http://fr.youtube.com/watch?v=a7LmYsXa6tE
Sinon il y a :
En apesanteur
J'arrive à me glisser juste avant que les portes ne se refferment
Elle me dit «Quel étage?» et sa voix me fait quitter la terre ferme
Alors, les chiffres dansent, tout ce mélange, je suis en tête à tête avec un ange!
En apesanteur, pourvut que les secondes soient des heures!
En apesenteur, pourvut qu'on soit les seuls, dans cet ascenseurs!
En apesanteur, pourvut que les secondes soient des heures!
En apesenteur, pourvut qu'on soit les seuls, dans cet ascenseurs!
Elle arrange ses cheuveux, j'ai le coeur juste au bord des yeux
Et sans la regarder je sens la chaleur d'un autre langage alors
Les yeux rivés sur les étages, pourvut que rien n'arrêtent le voyage!
En apesanteur, pourvut que les secondes soient des heures!
En apesenteur, pourvut qu'on soit les seuls, dans cet ascenseurs!
En apesanteur, pourvut que les secondes soient des heures!
En apesenteur, pourvut qu'on soit les seuls, dans cet ascenseur, dans cet ascenseur…
J'arrive à me glisser juste avant que les portes ne se referment…
En apesanteur, pourvut que les secondes soient des heures!
En apesenteur, pourvut qu'on soit les seuls, dans cet ascenseurs, en apesanteur
Pourvut que les secondes soient des heures, en apeusanteur…
Pourvut qu'on soit les seuls, dans cet ascenseurs…
Le lein: http://fr.youtube.com/watch?v=YO1LqqP9w3I
Et aussi Face à la mer, Calogéro et Passy
Face à la mer
On ne choisit ni son origine, ni sa couleur de peau
Comme on rêve d'une vie de château, quand on vit le ghetto
Naître l'étau autour du cou comme Cosette pour Hugo
Être en treillis dans le conflit et prier le Très Haut.
Fils du C.O.N.G.O. cette haine j'ai au
M.I.C.R.O. j'ai l' poids des mots
Sortir d'en bas, rêver de déchirer ce tableau
Fait d'armes, de larmes,
Fait de sang et sanglots.
[Calogero]:
Face à la mer
J'aurais dû grandir
Face contre terre
J'aurais pu mourir
Je me relève
Je prends mon dernier rêve
[Passi]:
Tous deux la même dalle
Et tous deux déçus
[Calogero]:
Je prends mon dernier rêve
[Passi]:
La sécheresse sur une terre où on ne cesse de semer
Tristesse dans des yeux qui ne peuvent pleurer
J'ai beaucoup de rêves lointains, je me suis tant rebellé,
J'ai bu beaucoup de baratin et ça m'a trop saoulé.
Dans la vie y a les tapes au fond et les tapes à côté,
Les "t'as pas un euro ?" ou la tape à l'arrachée,
Y a l'Etat, les R.M.istes, les " t'as qu'à taffer"
Si t'es en bas faut cravacher, t'as qu'à pas lâcher.
T'as pas connu ça toi, l'envie d'empocher les patates,
Être à gauche droite face à la mer loin des galères.
T'as pas connu ça, l'envie de t'en sortir distribuer des patates
Des gauches droites avec un air patibulaire
[Calogero]:
Face à la mer
J'aurais dû grandir
Face contre terre
J'aurais pu mourir
Je me relève
Je prends mon dernier rêve
[Passi]:
Tous deux la même dalle
Et tous deux déçus
[Calogero]:
Je prends mon dernier rêve
Face à la mer
C'est toi qui résistes
Face contre terre
Ton nom sur la liste
de tout ton être
Cité à comparaître
[Passi]:
C'est l'histoire de cette plume qui s'étouffe dans le goudron,
d'cette matière grise dont le pays n'a pas fait acquisition,
on se relève, on repart à fond, on vise le Panthéon,
j'en place une à ceux qui en ont, qui rêvent consécration,
la dalle la niak, je l'ai comme mes potes l'ont
on veut toucher le ciel étoilé sans baisser le pantalon.
Trop peu bonnes fées et trop de cendrillons.
Calo-Passi 2.0.0.4. action
[Calogero]:
Face à la mer
J'aurais dû grandir
Face contre terre
J'aurais pu mourir
Je me relève
Je prends mon dernier rêve
[Passi]:
Tous deux la même dalle
on est tous deux déçus
[Calogero]:
Je prends mon dernier rêve
[Passi]:
Tous deux la même dalle
on vise tous deux au-dessus
[Calogero]:
Je prends mon dernier rêve
[Passi]:
On ne choisit ni son origine, ni sa couleur de peau
comme on rêve d'une vie de château, quand on vit le ghetto
naître l'étau autour du cou comme Cosette pour Hugo
être en treillis dans le conflit et prier le Très Haut.
Fils du C.O.N.G.O. cette haine j'ai au
M.I.C.R.O. j'ai l'poids des mots
Face à la mer
On veut tous grandir
Calo-Passi
Trop jeunes pour mourir
et biensur un lien pour le clip: http://fr.youtube.com/watch?v=rnFMG8TR_k0
Re: Paroles de chanson
Je passe maintenant à Jean Jacques Goldman tres connu également.
Je pense qu'après, je dériverais vers Pascal Obispo, Partick Fiori, Patrick Bruel, Zazie, Mylene Farmer, Michel Sardou. Je chercherais quelques monument de la chançon française: Barbara, Claude François, Hugues Haufray, Joe Dassin.
En ajoutant les quelques un que je découvre sans oublier ceux à qui j'ai oublié de nommer ici.
Si vous avez des propositions, faites le, j'essayerais de creuser l'auteur.
Au bout de mes rêves, JJG
Et même si le temps presse
Même s'il est un peu court
Si les années qu'on me laisse
Ne sont que minutes et jours
Et même si l'on m'arrête
Ou s'il faut briser des murs
En soufflant dans des trompettes
Ou à force de murmures
J'irai au bout de mes rêves
Tout au bout de mes rêves
J'irai au bout de mes rêves
Où la raison s'achève
Tout au bout de mes rêves
J'irai au bout de mes rêves
Tout au bout de mes rêves
Où la raison s'achève
Tout au bout de mes rêves
Et même s'il faut partir
Changer de terre ou de trace
S'il faut chercher dans l'exil
L'empreinte de mon espace
Et même si les tempêtes
Les dieux mauvais, les courants
Nous feront courber la tête
Plier genoux sous le vent
J'irai au bout de mes rêves
Tout au bout de mes rêves
J'irai au bout de mes rêves
Où la raison s'achève
Tout au bout de mes rêves
J'irai au bout de mes rêves
Et même si tu me laisses
Au creux d'un mauvais détour
En ces moments où l'on teste
La force de nos amours
Je garderai la blessure
Au fond de moi, tout au fond
Mais au dessus je te jure
Que j'effacerai ton nom.
J'irai au bout de mes rêves
Tout au bout de mes rêves
J'irai au bout de mes rêves
Où la raison s'achève
Tout au bout de mes rêves
J'irai au bout de mes rêves
Tout au bout de mes rêves
Où la raison s'achève
Tout au bout de mes rêves (x2)
Comme toi, JJG
Elle avait les yeux clairs et la robe en velours
À côté de sa mère et la famille autour
Elle pose un peu distraite au doux soleil de la fin du jour
La photo n'est pas bonne mais l'on peut y voir
Le bonheur en personne et la douceur d'un soir
Elle aimait la musique surtout Schumann et puis Mozart
Comme toi comme toi comme toi comme toi
Comme toi comme toi comme toi comme toi
Comme toi que je regarde tout bas
Comme toi qui dort en rêvant à quoi
Comme toi comme toi comme toi comme toi
Elle allait à l'école au village d'en bas
Elle apprenait les livres elle apprenait les lois
Elle chantait les grenouilles et les princesses qui dorment au bois
Elle aimait sa poupée elle aimait ses amis
Surtout Ruth et Anna et surtout Jérémie
Et ils se marieraient un jour peut-être à Varsovie
Comme toi comme toi comme toi comme toi
Comme toi comme toi comme toi comme toi
Comme toi que je regarde tout bas
Comme toi qui dort en rêvant à quoi
Comme toi comme toi comme toi comme toi
Elle s'appelait Sarah elle n'avait pas huit ans
Sa vie c'était douceur rêves et nuages blancs
Mais d'autres gens en avaient décidé autrement
Elle avait tes yeux clairs et elle avait ton âge
C'était une petite fille sans histoire et très sage
Mais elle n'est pas née comme toi ici et maintenant
Comme toi comme toi comme toi comme toi
Comme toi comme toi comme toi comme toi
Comme toi que je regarde tout bas
Comme toi qui dort en rêvant à quoi
Comme toi comme toi comme toi comme toi
Je pense qu'après, je dériverais vers Pascal Obispo, Partick Fiori, Patrick Bruel, Zazie, Mylene Farmer, Michel Sardou. Je chercherais quelques monument de la chançon française: Barbara, Claude François, Hugues Haufray, Joe Dassin.
En ajoutant les quelques un que je découvre sans oublier ceux à qui j'ai oublié de nommer ici.
Si vous avez des propositions, faites le, j'essayerais de creuser l'auteur.
Au bout de mes rêves, JJG
Et même si le temps presse
Même s'il est un peu court
Si les années qu'on me laisse
Ne sont que minutes et jours
Et même si l'on m'arrête
Ou s'il faut briser des murs
En soufflant dans des trompettes
Ou à force de murmures
J'irai au bout de mes rêves
Tout au bout de mes rêves
J'irai au bout de mes rêves
Où la raison s'achève
Tout au bout de mes rêves
J'irai au bout de mes rêves
Tout au bout de mes rêves
Où la raison s'achève
Tout au bout de mes rêves
Et même s'il faut partir
Changer de terre ou de trace
S'il faut chercher dans l'exil
L'empreinte de mon espace
Et même si les tempêtes
Les dieux mauvais, les courants
Nous feront courber la tête
Plier genoux sous le vent
J'irai au bout de mes rêves
Tout au bout de mes rêves
J'irai au bout de mes rêves
Où la raison s'achève
Tout au bout de mes rêves
J'irai au bout de mes rêves
Et même si tu me laisses
Au creux d'un mauvais détour
En ces moments où l'on teste
La force de nos amours
Je garderai la blessure
Au fond de moi, tout au fond
Mais au dessus je te jure
Que j'effacerai ton nom.
J'irai au bout de mes rêves
Tout au bout de mes rêves
J'irai au bout de mes rêves
Où la raison s'achève
Tout au bout de mes rêves
J'irai au bout de mes rêves
Tout au bout de mes rêves
Où la raison s'achève
Tout au bout de mes rêves (x2)
Comme toi, JJG
Elle avait les yeux clairs et la robe en velours
À côté de sa mère et la famille autour
Elle pose un peu distraite au doux soleil de la fin du jour
La photo n'est pas bonne mais l'on peut y voir
Le bonheur en personne et la douceur d'un soir
Elle aimait la musique surtout Schumann et puis Mozart
Comme toi comme toi comme toi comme toi
Comme toi comme toi comme toi comme toi
Comme toi que je regarde tout bas
Comme toi qui dort en rêvant à quoi
Comme toi comme toi comme toi comme toi
Elle allait à l'école au village d'en bas
Elle apprenait les livres elle apprenait les lois
Elle chantait les grenouilles et les princesses qui dorment au bois
Elle aimait sa poupée elle aimait ses amis
Surtout Ruth et Anna et surtout Jérémie
Et ils se marieraient un jour peut-être à Varsovie
Comme toi comme toi comme toi comme toi
Comme toi comme toi comme toi comme toi
Comme toi que je regarde tout bas
Comme toi qui dort en rêvant à quoi
Comme toi comme toi comme toi comme toi
Elle s'appelait Sarah elle n'avait pas huit ans
Sa vie c'était douceur rêves et nuages blancs
Mais d'autres gens en avaient décidé autrement
Elle avait tes yeux clairs et elle avait ton âge
C'était une petite fille sans histoire et très sage
Mais elle n'est pas née comme toi ici et maintenant
Comme toi comme toi comme toi comme toi
Comme toi comme toi comme toi comme toi
Comme toi que je regarde tout bas
Comme toi qui dort en rêvant à quoi
Comme toi comme toi comme toi comme toi
Balthazard- PoèteMembre
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Re: Paroles de chanson
je ne connaissais pas celles-là…
Suis-je assez clair?
Calogéro
Je viens du Sud, je viens de l'Est
Le grand saut, moi je l'ai fait
De mon pays, je garde un reste
D'accent quand je parle français
Français
La vie là-bàs, c'est pas facile
Mais, est-ce que c'est vraiment mieux
De vivre ici, quand de vos villes
Je ne connais que la banlieue
Banlieue
Je suis là
Pour travailler
Dès le jour qui se lève
Je suis là
Pour façonner la maison de vos rêves
Je suis là
Oui mais pour tout le reste
Suis-je assez clair
Assez clair?
Je suis là
En attendant
Qu'on m'accueille ou m chasse
Je suis là
Dans votre vie je passe et je repasse
Je suis là
Oui lais pour tout le reste
Suis-je assez clair
Assez clair?
Je viens du Sud, je viens de l'Est
Un jour, j'y retournerai
Puisque pour mes frères il me reste
Un peu d'amour et de respect
Le respect
Je suis là
Pour travailler
Dès le jour qui se lève
Je suis là
Pour façonner la maison de vos rêves
Je suis là
Oui mais pour tout le reste
Suis-je assez clair
Assez clair?
Je suis là
En attendant
Qu'on m'accueille ou m chasse
Je suis là
Dans votre vie je passe et je repasse
Je suis là
Oui lais pour tout le reste
Suis-je assez clair
Assez clair?
Je suis là
Je vais chercher vos enfants à l'école
Pour ramasser
Vos mégots sur le sol
Je suis là
Suis-je assez clair
Assez clair?
J'aime beaucoup celle-là…
Suis-je assez clair?
Calogéro
Je viens du Sud, je viens de l'Est
Le grand saut, moi je l'ai fait
De mon pays, je garde un reste
D'accent quand je parle français
Français
La vie là-bàs, c'est pas facile
Mais, est-ce que c'est vraiment mieux
De vivre ici, quand de vos villes
Je ne connais que la banlieue
Banlieue
Je suis là
Pour travailler
Dès le jour qui se lève
Je suis là
Pour façonner la maison de vos rêves
Je suis là
Oui mais pour tout le reste
Suis-je assez clair
Assez clair?
Je suis là
En attendant
Qu'on m'accueille ou m chasse
Je suis là
Dans votre vie je passe et je repasse
Je suis là
Oui lais pour tout le reste
Suis-je assez clair
Assez clair?
Je viens du Sud, je viens de l'Est
Un jour, j'y retournerai
Puisque pour mes frères il me reste
Un peu d'amour et de respect
Le respect
Je suis là
Pour travailler
Dès le jour qui se lève
Je suis là
Pour façonner la maison de vos rêves
Je suis là
Oui mais pour tout le reste
Suis-je assez clair
Assez clair?
Je suis là
En attendant
Qu'on m'accueille ou m chasse
Je suis là
Dans votre vie je passe et je repasse
Je suis là
Oui lais pour tout le reste
Suis-je assez clair
Assez clair?
Je suis là
Je vais chercher vos enfants à l'école
Pour ramasser
Vos mégots sur le sol
Je suis là
Suis-je assez clair
Assez clair?
J'aime beaucoup celle-là…
Re: Paroles de chanson
confidentiel de JJG
Je voulais simplement te dire
Que ton visage et ton sourire
Resteront près de moi sur mon chemin
Te dire que c'était pour de vrai
Tout ce qu'on s'est dit, tout ce qu'on a fait
Que c'était pas pour de faux, que c'était bien.
Faut surtout jamais regretter
Même si ça fait mal, c'est gagné
Tous ces moments, tous ces mêmes matins
Je vais pas te dire que faut pas pleurer
Y a vraiment pas de quoi s'en priver
Et tout ce qu'on n'a pas loupé, le valait bien
Peut-être que l'on se retrouvera
Peut-être que peut-être pas
Mais sache qu'ici bas, je suis là
Ça restera comme une lumière
Qui me tiendra chaud dans mes hivers
Un petit feu de toi qui s'éteint pas.
Des bouts de moi de JJG
J'ai laissé
Dans mon rétroviseur
Loin
Au milieu d'un décor
Des images
Impressions et couleurs
Et des flashes et des cris qui s'emmêlent
Et me collent au corps
Blanc
Le silence avant vous
Noire
La scène avant les coups
Longue
L'attente de vous voir
Et nos bras, nos regards au moment de se dire bonsoir
J'ai laissé des bouts de moi au creux de chaque endroit
Un peu de chair à chaque empreinte de mes pas
Des visages et des voix qui ne me quittent pas
Autant de coups au cœur et qui tuent chaque fois
Une ville que la nuit rend imaginaire
Une route qu'on prend comme on reprend de l'air
Et les papillons retournent brûler leurs ailes
Pour toucher la lumière
pour énerver l'hiver
Pour un peu d'éphémère
L'hôtel
La même chambre, hier
Gestes
Compte à rebours, horaire
Tests
Rassurants, quotidiens
Les choses aussi retiennent leur souffle
Et puis le moment vient
Brûlent les lights et vos regards
Volent
Vos voix dans nos guitares
Belles
Les mains des musiciens
Et vos yeux que n'éteindra jamais un sommeil artificiel
J'ai laissé des bouts de moi au creux de chaque endroit
Un peu de chair à chaque empreinte de mes pas
Des visages et des voix qui ne me quittent pas
Autant de coups au cœur et qui tuent chaque fois
Une ville que la nuit rend imaginaire
Une route qu'on prend comme on reprend de l'air
Et les papillons retournent brûler leurs ailes
pour toucher la lumière
pour énerver l'hiver
Pour un peu d'éphémère
J'ai laissé des bouts de moi au creux de chaque endroit
Un peu de chair à chaque empreinte de mes pas
Des visages et des voix qui ne me quittent pas
Autant de coups et cœur et qui tuent chaque fois
Un matin pour s'étonner de nos impudeurs
Signatures alibis, mais il est déjà l'heure
Et les papillons retournent brûler leurs ailes
pour toucher la lumière
Pour énerver l'hiver
Pour que tout s'accélère
J'ai laissé des bouts de moi au creux de chaque endroit
Un peu de chair à chaque empreinte...
Je voulais simplement te dire
Que ton visage et ton sourire
Resteront près de moi sur mon chemin
Te dire que c'était pour de vrai
Tout ce qu'on s'est dit, tout ce qu'on a fait
Que c'était pas pour de faux, que c'était bien.
Faut surtout jamais regretter
Même si ça fait mal, c'est gagné
Tous ces moments, tous ces mêmes matins
Je vais pas te dire que faut pas pleurer
Y a vraiment pas de quoi s'en priver
Et tout ce qu'on n'a pas loupé, le valait bien
Peut-être que l'on se retrouvera
Peut-être que peut-être pas
Mais sache qu'ici bas, je suis là
Ça restera comme une lumière
Qui me tiendra chaud dans mes hivers
Un petit feu de toi qui s'éteint pas.
Des bouts de moi de JJG
J'ai laissé
Dans mon rétroviseur
Loin
Au milieu d'un décor
Des images
Impressions et couleurs
Et des flashes et des cris qui s'emmêlent
Et me collent au corps
Blanc
Le silence avant vous
Noire
La scène avant les coups
Longue
L'attente de vous voir
Et nos bras, nos regards au moment de se dire bonsoir
J'ai laissé des bouts de moi au creux de chaque endroit
Un peu de chair à chaque empreinte de mes pas
Des visages et des voix qui ne me quittent pas
Autant de coups au cœur et qui tuent chaque fois
Une ville que la nuit rend imaginaire
Une route qu'on prend comme on reprend de l'air
Et les papillons retournent brûler leurs ailes
Pour toucher la lumière
pour énerver l'hiver
Pour un peu d'éphémère
L'hôtel
La même chambre, hier
Gestes
Compte à rebours, horaire
Tests
Rassurants, quotidiens
Les choses aussi retiennent leur souffle
Et puis le moment vient
Brûlent les lights et vos regards
Volent
Vos voix dans nos guitares
Belles
Les mains des musiciens
Et vos yeux que n'éteindra jamais un sommeil artificiel
J'ai laissé des bouts de moi au creux de chaque endroit
Un peu de chair à chaque empreinte de mes pas
Des visages et des voix qui ne me quittent pas
Autant de coups au cœur et qui tuent chaque fois
Une ville que la nuit rend imaginaire
Une route qu'on prend comme on reprend de l'air
Et les papillons retournent brûler leurs ailes
pour toucher la lumière
pour énerver l'hiver
Pour un peu d'éphémère
J'ai laissé des bouts de moi au creux de chaque endroit
Un peu de chair à chaque empreinte de mes pas
Des visages et des voix qui ne me quittent pas
Autant de coups et cœur et qui tuent chaque fois
Un matin pour s'étonner de nos impudeurs
Signatures alibis, mais il est déjà l'heure
Et les papillons retournent brûler leurs ailes
pour toucher la lumière
Pour énerver l'hiver
Pour que tout s'accélère
J'ai laissé des bouts de moi au creux de chaque endroit
Un peu de chair à chaque empreinte...
Balthazard- PoèteMembre
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Date d'inscription : 04/10/2007
Re: Paroles de chanson
Moi, j'aime beaucoup Calogéro et toi, apparament, tu aimes bien (beaucoup?) JJG.
Re: Paroles de chanson
J'aime tout, enfin presque. La belle musique, quoi^^
Et comme JJG ou Calogero chantent des textes qui veulent transmettre un message, comme toute belle musique. Je les écoute.
Je n'apprécie pas trop le rap ou le hard rock, métal, ... qui ne parle que de haine, de sexe. C'est fait pour avoir de l'argent, ça n'a aucune ame.
Elle a fait un bébé toute seule de JJG
Elle a fait un bébé toute seule
Elle a fait un bébé toute seule
C'était dans ces années un peu folles
Où les papas n'étaient plus à la mode
Elle a fait un bébé toute seule
Elle a fait un bébé toute seule
Elle a fait un bébé toute seule
Elle a choisi le père en scientifique
Pour ses gènes, son signe astrologique
Elle a fait un bébé toute seule
Et elle court toute la journée
Elle court de décembre en été
De la nourrice à la baby-sitter
Des paquets de couches au biberon de quatre heures
Et elle fume, fume, fume même au petit déjeuner
Elle défait son grand lit toute seule
Elle défait son grand lit toute seule
Elle vit comme dans tous ces magazines
Où le fric et les hommes sont faciles
Elle défait son grand lit toute seule
Et elle court toute la journée
Elle court de décembre en été
Le garage, la gym et le blues alone
Et les copines qui pleurent des heures au téléphone
Elle assume, sume, sume sa nouvelle féminité
Et elle court toute la journée
Elle court de décembre en été
De la nourrice à la baby-sitter
Des paquets de couches au biberon de quatre heures
Et elle fume, fume, fume même au petit déjeuner
Elle m'téléphone quand elle est mal
Quand elle peut pas dormir
J'l'emmène au cinéma, j'lui fait des câlins, j'la fais rire
Un peu comme un grand frère
Un peu incestueux quand elle veut
Puis son gamin, c'est presque le mien, sauf qu'il a les yeux bleus
Elle a fait un bébé toute seule
Elle avait 17 ans de JJG
A quoi tu rêves ? Redescends
C'est comme ça, pas autrement
Faudra bien que tu comprennes
A chaque jour suffit sa peine
Après tout ce qu'on a fait pour toi
A ton âge, on se plaignait pas
L'excès en tout est un défaut
T'as pourtant pas tout ce qu'y te faut ?
Ça devrait être interdit
Tous ces mots tranchants comme des scies
Antidotes à la vie, à l'envie
Mais quelle est sa maladie ?
Elle avait dix-sept ans
Elle avait tant et tant de rêves à vivre
Et si peu l'envie de rêver
Comme ces gens âgés qui tuent le temps
Qu'ils n'ont plus, assis sur des bancs
Dix-sept ans
Elle dérivait à l'envers
Loin des vérités avérées
Elle disait : "Qui vivra verra
Et moi je vivrai, vous verrez !"
"Méfie-toi de tes amis
Dans la vie, pas de sentiment
On ne vit pas avec des si
Y a les gagnants et les perdants
T'as trop d'imagination
Mais garde un peu les pieds sur terre
Faudra que tu te fasses une raison
Attends, tais-toi, mais pour qui tu te prends ?"
Elle aimait pas les phrases en cage
Être sage, pas le courage
Elle disait, quitte à tomber de haut
Qu'elle vendrait chèrement sa peau
Elle avait dix-sept ans
Elle prenait la vie comme un livre
Qu'elle commençait par la fin
Ne voulait surtout pas choisir
Pour ne jamais renoncer à rien
Dix-sept ans
Elle était sans clé, sans bagages
Pauvres accessoires de l'âge
Elle voulait que ses heures dansent
Au rythme de ses impatiences
Face à tant d'appétit vorace
Que vouliez-vous que j'y fasse ?
A tant de violente innocence
J'avais pas l'ombre d'une chance
Et comme JJG ou Calogero chantent des textes qui veulent transmettre un message, comme toute belle musique. Je les écoute.
Je n'apprécie pas trop le rap ou le hard rock, métal, ... qui ne parle que de haine, de sexe. C'est fait pour avoir de l'argent, ça n'a aucune ame.
Elle a fait un bébé toute seule de JJG
Elle a fait un bébé toute seule
Elle a fait un bébé toute seule
C'était dans ces années un peu folles
Où les papas n'étaient plus à la mode
Elle a fait un bébé toute seule
Elle a fait un bébé toute seule
Elle a fait un bébé toute seule
Elle a choisi le père en scientifique
Pour ses gènes, son signe astrologique
Elle a fait un bébé toute seule
Et elle court toute la journée
Elle court de décembre en été
De la nourrice à la baby-sitter
Des paquets de couches au biberon de quatre heures
Et elle fume, fume, fume même au petit déjeuner
Elle défait son grand lit toute seule
Elle défait son grand lit toute seule
Elle vit comme dans tous ces magazines
Où le fric et les hommes sont faciles
Elle défait son grand lit toute seule
Et elle court toute la journée
Elle court de décembre en été
Le garage, la gym et le blues alone
Et les copines qui pleurent des heures au téléphone
Elle assume, sume, sume sa nouvelle féminité
Et elle court toute la journée
Elle court de décembre en été
De la nourrice à la baby-sitter
Des paquets de couches au biberon de quatre heures
Et elle fume, fume, fume même au petit déjeuner
Elle m'téléphone quand elle est mal
Quand elle peut pas dormir
J'l'emmène au cinéma, j'lui fait des câlins, j'la fais rire
Un peu comme un grand frère
Un peu incestueux quand elle veut
Puis son gamin, c'est presque le mien, sauf qu'il a les yeux bleus
Elle a fait un bébé toute seule
Elle avait 17 ans de JJG
A quoi tu rêves ? Redescends
C'est comme ça, pas autrement
Faudra bien que tu comprennes
A chaque jour suffit sa peine
Après tout ce qu'on a fait pour toi
A ton âge, on se plaignait pas
L'excès en tout est un défaut
T'as pourtant pas tout ce qu'y te faut ?
Ça devrait être interdit
Tous ces mots tranchants comme des scies
Antidotes à la vie, à l'envie
Mais quelle est sa maladie ?
Elle avait dix-sept ans
Elle avait tant et tant de rêves à vivre
Et si peu l'envie de rêver
Comme ces gens âgés qui tuent le temps
Qu'ils n'ont plus, assis sur des bancs
Dix-sept ans
Elle dérivait à l'envers
Loin des vérités avérées
Elle disait : "Qui vivra verra
Et moi je vivrai, vous verrez !"
"Méfie-toi de tes amis
Dans la vie, pas de sentiment
On ne vit pas avec des si
Y a les gagnants et les perdants
T'as trop d'imagination
Mais garde un peu les pieds sur terre
Faudra que tu te fasses une raison
Attends, tais-toi, mais pour qui tu te prends ?"
Elle aimait pas les phrases en cage
Être sage, pas le courage
Elle disait, quitte à tomber de haut
Qu'elle vendrait chèrement sa peau
Elle avait dix-sept ans
Elle prenait la vie comme un livre
Qu'elle commençait par la fin
Ne voulait surtout pas choisir
Pour ne jamais renoncer à rien
Dix-sept ans
Elle était sans clé, sans bagages
Pauvres accessoires de l'âge
Elle voulait que ses heures dansent
Au rythme de ses impatiences
Face à tant d'appétit vorace
Que vouliez-vous que j'y fasse ?
A tant de violente innocence
J'avais pas l'ombre d'une chance
Balthazard- PoèteMembre
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Date d'inscription : 04/10/2007
Re: Paroles de chanson
Encore un matin de JJG
Encore un matin
Un matin pour rien
Une argile au creux de mes mains
Encore un matin
Sans raison ni fin
Si rien ne trace son chemin
Matin pour donner ou bien matin pour prendre
Pour oublier ou pour apprendre
Matin pour aimer, maudire ou mépriser
Laisser tomber ou résister
Encore un matin
Qui cherche et qui doute
Matin perdu cherche une route
Encore un matin
Du pire ou du mieux
A éteindre ou mettre le feu
Un matin, ça ne sert à rien
Un matin
Sans un coup de main
Ce matin
C'est le mien, c'est le tien
Un matin de rien
Pour en faire
Un rêve plus loin
Encore un matin
Ou juge ou coupable
Ou bien victime ou bien capable
Encore un matin, ami, ennemi
Entre la raison et l'envie
Matin pour agir ou attendre la chance
Ou bousculer les évidences
Matin innocence, matin intelligence
C'est toi qui décide du sens
Un matin, ça ne sert à rien
Un matin
Sans un coup de main
Ce matin
C'est le mien, c'est le tien
Un matin de rien
Pour en faire
Un rêve plus loin
Entre gris et noir de JJg
Décolorés, les messages du ciel
Les évidences, déteintes au soleil
Fané, le rouge sang des enfers
L'Eden, un peu moins pur, un peu moins clair
Souillé, taché, le blanc des étandards
Brûlé le vert entêtant de l'espoir
La sérénité des gens qui croient
Ce repos d'âme qui donnait la foi
Organisés, les chemins bien fléchés
Largués, les idoles et grands timoniers
Les slogans qu'on hurle à pleins poumons
Sans l'ombre, l'ombre d'une hésitation
Télévisées, les plus belles histoires
Ternis, les gentils, troublants, les méchants
Les diables ne sont plus vraiment noirs
Ni les blancs absolument innocents
Oubliées, oubliées
Délavées, nos sages années, programmées
Entre gris clair et gris foncé
Scénarisées, les histoires d'amour
Tous les "jamais", les "juré", les "toujours"
Longue et semée d'embûches est la route
Du sacré sondage et du taux d'écoute
Psychiatrisées, l'amitié des romans
Celle des serments, des frères de sang
Les belles haines qui brûlaient le cœur
Contrôlées à travers un pacemaker
Oubliées, oubliées
Délavées, nos sages années, programmées
Entre gris clair et gris foncé
Encore un matin
Un matin pour rien
Une argile au creux de mes mains
Encore un matin
Sans raison ni fin
Si rien ne trace son chemin
Matin pour donner ou bien matin pour prendre
Pour oublier ou pour apprendre
Matin pour aimer, maudire ou mépriser
Laisser tomber ou résister
Encore un matin
Qui cherche et qui doute
Matin perdu cherche une route
Encore un matin
Du pire ou du mieux
A éteindre ou mettre le feu
Un matin, ça ne sert à rien
Un matin
Sans un coup de main
Ce matin
C'est le mien, c'est le tien
Un matin de rien
Pour en faire
Un rêve plus loin
Encore un matin
Ou juge ou coupable
Ou bien victime ou bien capable
Encore un matin, ami, ennemi
Entre la raison et l'envie
Matin pour agir ou attendre la chance
Ou bousculer les évidences
Matin innocence, matin intelligence
C'est toi qui décide du sens
Un matin, ça ne sert à rien
Un matin
Sans un coup de main
Ce matin
C'est le mien, c'est le tien
Un matin de rien
Pour en faire
Un rêve plus loin
Entre gris et noir de JJg
Décolorés, les messages du ciel
Les évidences, déteintes au soleil
Fané, le rouge sang des enfers
L'Eden, un peu moins pur, un peu moins clair
Souillé, taché, le blanc des étandards
Brûlé le vert entêtant de l'espoir
La sérénité des gens qui croient
Ce repos d'âme qui donnait la foi
Organisés, les chemins bien fléchés
Largués, les idoles et grands timoniers
Les slogans qu'on hurle à pleins poumons
Sans l'ombre, l'ombre d'une hésitation
Télévisées, les plus belles histoires
Ternis, les gentils, troublants, les méchants
Les diables ne sont plus vraiment noirs
Ni les blancs absolument innocents
Oubliées, oubliées
Délavées, nos sages années, programmées
Entre gris clair et gris foncé
Scénarisées, les histoires d'amour
Tous les "jamais", les "juré", les "toujours"
Longue et semée d'embûches est la route
Du sacré sondage et du taux d'écoute
Psychiatrisées, l'amitié des romans
Celle des serments, des frères de sang
Les belles haines qui brûlaient le cœur
Contrôlées à travers un pacemaker
Oubliées, oubliées
Délavées, nos sages années, programmées
Entre gris clair et gris foncé
Balthazard- PoèteMembre
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Date d'inscription : 04/10/2007
Re: Paroles de chanson
Pour changer un peu, voilà les paroles d'une chanson de Christophe Maé.
Ca fait mal
Qu'elle était belle à tes côtés
Sur ta voix son corps dansait
Dans ses dentelles virevoltait
L'effet d'un corps de ballet
Papa, tu as pris la route sans dire adieu
Papa, tu as laissé son corps je t'en veux
Refrain :
Ca fait mal de vivre sans toi
Elle a mal et tu ne t'imagines même pas
Comme ça fait mal de rire sans toi
Elle a mal et tu ne reviendras pas
Qu'elle était belle à tes côtés
Dans son regard je voyais
Que tu faisais d'elle un conte de fées
Sur toi elle se reposait
Papa, tu as pris la route sans dire adieu
Papa, tu as laissé son coeur je t'en veux
Refrain :
Ca fait mal de vivre sans toi
Elle a mal et tu ne t'imagines même pas
Comme ça fait mal de rire sans toi
Elle a mal et tu ne reviendras pas
Oh non Papa, tu ne reviendras pas
Refrain :
Ca fait mal de vivre sans toi
Elle a mal et tu ne t'imagines même pas
Comme ça fait mal de rire sans toi
Elle a mal et tu ne reviendras pas
Son sourire appelle au secours, il est sans amour
Refrain :
Ca fait mal de vivre sans toi
Elle a mal et tu ne t'imagines même pas
Comme ça fait mal de rire sans toi
Elle a mal et tu ne reviendras pas
Toi tu ne reviendras pas, et toi tu ne reviendras pas
Oh papa, et toi tu ne reviendras pas
Et toi tu ne reviendras pas, Papa
Ca fait mal
Qu'elle était belle à tes côtés
Sur ta voix son corps dansait
Dans ses dentelles virevoltait
L'effet d'un corps de ballet
Papa, tu as pris la route sans dire adieu
Papa, tu as laissé son corps je t'en veux
Refrain :
Ca fait mal de vivre sans toi
Elle a mal et tu ne t'imagines même pas
Comme ça fait mal de rire sans toi
Elle a mal et tu ne reviendras pas
Qu'elle était belle à tes côtés
Dans son regard je voyais
Que tu faisais d'elle un conte de fées
Sur toi elle se reposait
Papa, tu as pris la route sans dire adieu
Papa, tu as laissé son coeur je t'en veux
Refrain :
Ca fait mal de vivre sans toi
Elle a mal et tu ne t'imagines même pas
Comme ça fait mal de rire sans toi
Elle a mal et tu ne reviendras pas
Oh non Papa, tu ne reviendras pas
Refrain :
Ca fait mal de vivre sans toi
Elle a mal et tu ne t'imagines même pas
Comme ça fait mal de rire sans toi
Elle a mal et tu ne reviendras pas
Son sourire appelle au secours, il est sans amour
Refrain :
Ca fait mal de vivre sans toi
Elle a mal et tu ne t'imagines même pas
Comme ça fait mal de rire sans toi
Elle a mal et tu ne reviendras pas
Toi tu ne reviendras pas, et toi tu ne reviendras pas
Oh papa, et toi tu ne reviendras pas
Et toi tu ne reviendras pas, Papa
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